Je ne suis rien, je suis un Palapalala.
Un homme désabonné aux "tu es, tu seras." Un homme tient son ego en main, ne voit pas qu'il lui enserre le cou. Si, il voit.
Je ne suis rien. En moi le vide, le Mystère de toutes religions, le Sacré m'envahit, je l'ai découvert, mes peaux une à une arrachées, que me reste-t-il oh Seigneur ?
Un homme désabonné aux "tu es, tu seras." Un homme tient son ego en main, ne voit pas qu'il lui enserre le cou. Si, il voit.
Je ne suis rien. En moi le vide, le Mystère de toutes religions, le Sacré m'envahit, je l'ai découvert, mes peaux une à une arrachées, que me reste-t-il oh Seigneur ?
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Un journal "Courrier International", plié, plié encore,
découpé. Je récupère, froisse les fragments, à l'aide d'un
sculpix, petit d'étain ~7cm, fabrique le modèle d'un homme, un
palapalala, un être culturel, comment être plus juste en ce
que je crois de l'homme et de ce que je suis ?
- "Chaque paslapalala possède une part irremplaçable pour le savoir de la totalité de ce "courrier International".
- Si tu parles de l'homme sur ton blog et que je viens y ajouter mon grain de sel, j’admets qu'il est plus simple pour toi de me censurer afin de conserver ta liberté de penser.
- Le sculpix : les blogs, dans la continuité du livre permettent des commentaires à développer infiniment leurs notes. Le livre, lui, est un objet fermé. Ne voit donc pas un blog comme tu gérerais un livre. Le sculpix est peu, à l'instar du pixel. Ne pas chercher la fortune financière offre au chemin bien d'autres portes au jardin des rêves appliqués. J'ai reçu tant de choses, j'ai tant expliqué, qu'en reste-t-il ?
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- Mon ami me dit : "je vais faire quelque chose de ton travail, il y a tant et tant. Nos vies sont passées l'une à côté de l'autre."
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- mon passé a avancé. Ma vie culturelle, expressive, n'est plus
qu'un avant les effacements dont je fus victime sans bourreau, sans
responsable, le nombre leur donne raison, ils se pavanent encore,
même si beaucoup sont parti. Le premier blog fut celui de onecomL.
Après, le premier coup de feu tiré, les autres suivirent avec la
monotonie d'un bacille puisqu'ils pouvaient le faire, personne ne
levait le petit doigt, sauf moi, qu'ils effaçaient puisqu'ils
avaient raisons. Je leurs ai dit que ce trou était une chance pour
eux, j'avais en tête Boat, l'astrolabe. OnecomL était le premier
homme culturel mis à mort par cette société. Pourquoi ? C'était
mon regard.
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- Ouai, bon, hein, quoi, c'était chaud.
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